Where Olive Trees Weep offre une fenêtre saisissante sur les luttes et la résilience du peuple palestinien sous l’occupation israélienne. Il explore les thèmes de la perte, du traumatisme et de la quête de justice.
Nous suivons, entre autres, la journaliste et thérapeute palestinienne Ashira Darwish, la militante locale Ahed Tamimi et la journaliste israélienne Amira Hass. Nous voyons également le Dr Gabor Maté proposer un travail de guérison des traumatismes à un groupe de femmes qui ont été torturées dans les prisons israéliennes.
Les paysages anciens portent de profondes cicatrices, ayant été témoins de la réalité brutale de la confiscation des terres ancestrales, des expulsions, de l’emprisonnement, de la démolition de maisons, de la privation d’eau et du déni des droits de l’homme fondamentaux. Pourtant, à travers le voile de l’oppression, nous entrevoyons la résilience – des racines profondes qui ont porté le peuple palestinien à travers des décennies d’obscurité et de vies brisées.
Ce voyage émotionnel met à nu l’humanité de l’opprimé tout en abordant la question suivante : qu’est-ce qui rend l’oppresseur si impitoyablement aveugle à sa propre cruauté ?
Zaya Ralitza Benazzowa est née et a grandi à Sofia, en Bulgarie.
Aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours été fascinée par l’exploration des grandes questions de la vie.
C’est dans la nature et, de plus en plus, en elle-même qu’elle se sent le plus à l’aise.
Zaya est productrice et réalisatrice de films. Elle est diplômée en ingénierie, en sciences de l’environnement et en cinéma.
Pendant de nombreuses années, elle a travaillé en tant qu’activiste environnementale en Europe.
Sa passion la plus profonde est de rassembler la sagesse des traditions spirituelles au service de toute vie.
Zaya est convaincue que la libération individuelle et la libération collective sont inextricablement liées.